Art de rue
Au détour d'un terrain vague... s'affiche un art de rue, comme un art comptemporain qui ne souffirait pas d'être confiné dans un musée aseptisé à l'abri des regards curieux et des photographes.
Un art, qui n'est pas encore totalement pourri par le droit d'auteur et les contradictions qu'il amène. Un art d'expression libre et de libre regard ouvert au passant nonchalant souvent interloqué par la sincérité et la vérité de ce témoignage "hors des murs" des institutions artistiques traditionnelles....
Un art, éphémère bien souvent, tant il est soumis aux aléas de l'érosion urbaine. Ici un recouvrement sauvage par un homologue un peu rustre, là un ravalement hygiénique redonnant au support sa neutralité insipide, presque morte; mais un art qui vit et qui sait gagner le respect quand il le mérite.
C'est par fascination pour cette forme d'art contemporain, véritable témoignage d'une approppriation nécessaire de l'environnement urbain, que je posterai, de temps en temps, ici, quelques clichés, quelques tranches de vie, quelques signes des temps modernes, et autres ressurgences d' incivilités poetico-protestataires..... le tout receuillis au fils de mes perigrinations.
Si la plupart meritent une place respectable dans un musée d'art comtemporain, leur forme ou leur support rend bien souvent leur réunion et leur conservation trop problèmatique au regard de l'intérêt qu'il leur est accordé. Je tâcherai de leur donner, autant que je peux, ici, une place de choix :)
Un art, qui n'est pas encore totalement pourri par le droit d'auteur et les contradictions qu'il amène. Un art d'expression libre et de libre regard ouvert au passant nonchalant souvent interloqué par la sincérité et la vérité de ce témoignage "hors des murs" des institutions artistiques traditionnelles....
Un art, éphémère bien souvent, tant il est soumis aux aléas de l'érosion urbaine. Ici un recouvrement sauvage par un homologue un peu rustre, là un ravalement hygiénique redonnant au support sa neutralité insipide, presque morte; mais un art qui vit et qui sait gagner le respect quand il le mérite.
C'est par fascination pour cette forme d'art contemporain, véritable témoignage d'une approppriation nécessaire de l'environnement urbain, que je posterai, de temps en temps, ici, quelques clichés, quelques tranches de vie, quelques signes des temps modernes, et autres ressurgences d' incivilités poetico-protestataires..... le tout receuillis au fils de mes perigrinations.
Si la plupart meritent une place respectable dans un musée d'art comtemporain, leur forme ou leur support rend bien souvent leur réunion et leur conservation trop problèmatique au regard de l'intérêt qu'il leur est accordé. Je tâcherai de leur donner, autant que je peux, ici, une place de choix :)
Articles
3 commentaires:
hello !
ce ne serait pas du coté de ce mur formidable sur les bords du canal saint martin ?
Il s'agit en fait d'un mur dans une friche située entre la rue Lesage et la rue Ramponeau...dans le bas-Belleville, juste à côté de la rue Dénoyez....
Il y a d'ailleurs à cet endroit quantité de creation très sympas sur les murs et de stickers assez terribles :)
Voilà
en tous cas merci pour le commentaire :)
++
Yes, en effet, c'est bien de la rue Ramponeau qu'il s'agit - une tôle vert-et-gris dissimulant aux passants une friche abritant les bureaux de la Politique de la Ville ainsi qu'un atelier d'architecte, en rez d'un jardin très urbain... Bref, il y a aussi rue Dénoyez, le fameux "squat" Friches et nous la paix, qui fait plein de trucs très bien! Et si vous vous donnez la peine de remonter la rue des Couronnes et de poursuivre sur la rue Julien Lacroix, vous pourrez aussi voir de chouettes peintures de Jérôme Mesnager et de Némo (dont certaines récentes), qui sont totalement intégrées à ce petit bout de ville charmant qu'est Ménilmontant...
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